dimanche 2 février 2014

Conclusion

Ainsi, à travers nos recherches nous avons pu constater que la médecine douce occupe une place plus ou moins importante dans le traitement allopathique du cancer.Cela dépend de la forme du cancer, de l'administration des médicaments. Mais celle-ci occupe toujours une place de second plan, d'accompagnement et ne permet en aucun cas de guérir le cancer. En revanche, elle peut améliorer les résultats, accompagner le patient dans cette phase difficile de la vie et permet aussi un meilleur champ d'action,plus rapide pour permettre la récession de la vie. C'est un atout, un support face au traitement allopathique qui ne peut résoudre tous les effets secondaires de la maladie. On peut dire ainsi que la médecine douce corrige ses défauts et permet d'apporter un soutien aux patients, ce qui permet au corps de se focaliser sur la maladie. Cette pratique est en pleine expansion en France et rencontre de plus en plus d'adeptes.

Entretien sur la Sophrologie Auvray Isabelle


Nous avons pu nous entretenir avec Auvray Isabelle, sophrologue.
Dont voici les propos.


La sophrologie n'est pas une médecine douce à proprement parlé, c'est une application des  techniques de yoga en vue de soulager le patient mentalement et physiquement. Contrairement au reiki qui possède une histoire et est considéré comme une médecine douce. La sophrologie provoque un bien-être comme avec le yoga et la méditation.

La sophrologie est-elle une pratique courante ou reconnue ?

-' Non pas assez, elle devrait être  plus reconnue.'

Joue-t-elle un rôle prépondérant dans l’accompagnement des soins du cancer ?
-'Oui,  elle  joue vraiment  un rôle  notamment  dans  les effets  secondaires de la chimiothérapie. Elle accompagne le patient à travers cette épreuve.

Pour qui  la sophrologie est-elle utile ?
-' Elle l'est pour tous, même pour les personnes n'ayant pas subit de lourds traitements comme pour le cancer. Les patients qui la pratiquent sont beaucoup plus soulagés et subissent en moindre mesure les effets secondaires, en comparaison de ceux ne la pratiquant pas.'

Qu'elles en sont les impacts précis ?

-'Etant considéré comme une médecine douce, je ne peux pas m'exprimer clairement là dessus mais, elle est très utile pour les patients et je ne peux que recommander de l'intégrer dans les centres hospitaliers.'

[ Les propos tenus ci-dessus ont été rapportés le plus fidèlement possible, il peut y avoir quelques divergences avec les réponses de départ. Ici,elles ont été prises dans leur globalité]


[Entrevue réalisée le 31 Janvier 2014]